Ces dernières semaines le cataclysme des gilets jaunes a frappé.
JE NE SOUTIENS PLUS LES GILETS JAUNES. Le mouvement ne voulant pas se dissocier des VIOLENCES DE CES DERNIERES SEMAINES et JUSTIFIE donc CETTE VIOLENCE. C'est terriblement triste et honteux... au contraire il utilise cette violence a son avantage. c'est totalement irresponsable.
Tout montre que ce mouvement n'est plus constructif ni citoyen car il ne respecte pas la "citée" et les citoyens de la "citée". Il est manipulé.
Parce qu'on est en colère on a le droit de casser ? non. On a le droit de manifester et plus on est nombreux plus on se fait entendre. pas d'être violent.
Non, nous ne sommes pas au temps de la révolution de 1789. C'est faux. Nous avons l'assurance chômage, l'assurance maladie, les congés payés... nous sommes bien loin de cette époque. Toutes ces aides sont financées par des cotisations importantes qui pèsent sur les entreprises bien plus que sur nous particuliers.
C'est grave car nous venons de proclamer à nouveau ces dernières semaines que la colère justifie les horreurs de la violence qui a eu lieu dans de nombreux endroits et plus particulièrement sur les Champs Elysée y compris sur le patrimoine qui est le notre. honte à nous !
Le résultat de ce bel exemple des adultes que nous sommes ? Des lycéens brûlent leur lycée par mécontentement de parcours sup et de la réforme du bac...
Nous sommes comme des adolescents... on ne discute plus on casse... serait-ce la triste réalité d'une société adulescente ? Nous n'avons donc pas évolué depuis mai 68 ... c'est bien triste.
Je veux suivre la voie et le modèle de Martin Luther King, Gandhi, et même Mandela (même s'il a choisi un temps la violence mais pas contre les personnes!) ...
Comme des adolescents qui vivent l'instant présent sans envisager l'avenir, nous scions la branche sur laquelle nous sommes... nous détruisons actuellement la France et les emplois avec les blocus ou de nombreuses entreprises, commerces sont proches de la faillite ou auront beaucoup de mal à se relever... non, à l'instant présent ce n'est plus la faute du gouvernement. C'est la nôtre !